Les œuvres de l’album «Miklos Rozsa: Orchestral Works» de la Deutsche Staatsphilharmonie Rheinland-Pfalz sont toujours agréables, même si elles ne sont pas uniformément de premier ordre.
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Le violoniste allemand Frank Peter Zimmerman considère le Concerto pour violon en ré majeur de Stravinsky comme une œuvre romantique tardive, pleine de nostalgie pour la jeunesse perdue, la patrie et la confiance.
Au fil des ans, peu de pianistes m’ont procuré autant de plaisir que le loup solitaire polono-hongrois Piotr Anderszewski.
Dans une œuvre d’une heure, les deux premiers mouvements de la 7e Symphonie de Bruckner occupent quarante minutes et peuvent paraître trop lourds. Haitink évite cet écueil grâce à un rythme soutenu, atténué par la légèreté et les traits d’esprit.
Cette interprétation du Concerto de Lutoslawski de 1954 par l’Orchestre symphonique de la Radio finlandaise est la plus captivante depuis des années.
L’album de l’année ? Il y en a beaucoup, des Variations Goldberg de Vikingur Olaffson aux concertos de Rachmaninov de Yuja Wang, en passant par la Symphonie de la résurrection de Semyon Bychkov.
Thomas Larcher est un Autrichien aux tendances ésotériques. Mystique à souhait, son dernier recueil se compose de deux mises en scène vocales solistes de textes anglais énigmatiques de Nan Shepherd et W. G. Sebald.
Au premier abord, le coup de chalut de Magdalena Kozena à travers quatre ensembles de chants folkloriques orchestrés par Bela Bartok, Luciano Berio, Maurice Ravel et l’Espagnol Xavier Montsalvatge, ne semble pas cohérent.
Les sonates de Valentin Bibik sont le reflet d’un monde en transition et d’un compositeur qui n’arrive pas à décider à quelle partie de ce monde se raccrocher : le passé soviétique, le présent turbulent ou un avenir post-moderne.
Je ne me souviens pas de la dernière fois que j’ai écouté et encore moins recommandé un album de Noël, mais Lise Davidsen s’est attaquée à mon talon d’Achille.