Navigation sur: Musique orchestrale

Près de quatre ans après avoir été amorcé, un projet d’envergure se matérialise cette fin de semaine avec la sortie des deux Concertos pour piano de Chopin sous étiquette Analekta, mettant en lumière le pianiste Charles Richard-Hamelin et l’Orchestre symphonique de Montréal sous la direction de Kent Nagano. Une collaboration entièrement québécoise qui va faire parler d’elle dans les temps à venir : « C’est l’un des cinq meilleurs albums jamais sortis des presses d’Analekta », se réjouit son président François-Mario Labbé. Près de 32 ans après la fondation de la maison de disque, cet enregistrement historique vient rappeler au monde entier l’excellence…

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22 novembre 2018 | Montréal Télé-Québec et La Fabrique culturelle sont fières d’offrir en primeur au public le grand concert La symphonie de Télé-Québec, ainsi que la capsule exclusive Laisser sa trace, réalisée en coulisse de cet événement unique. Le premier est offert sur telequebec.tv et la seconde peut être visionnée sur lafabriqueculturelle.tv. La symphonie de Télé-Québec : un concert marquant Le dimanche 7 octobre dernier, Yannick Nézet-Séguin et l’Orchestre Métropolitain ont clôturé en grand l’année de festivités des 50 ans de Télé-Québec avec un concert unique présenté à la Maison symphonique : La symphonie de Télé-Québec. L’événement a rassemblé sur scène…

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De retour à Montréal, Juraj Valčuha a dirigé cette semaine l’OSM pour un programme double assez contrasté : œuvre de jeunesse, le Concerto pour piano no 1 de Mendelssohn par André Laplante préparait une œuvre de maturité de Richard Strauss, Une symphonie alpestre. Une réussite complète. On attend déjà le retour du chef slovaque. D’entrée de jeu, l’ouverture de l’opéra-comique Die lustigen Weiber von Windsor d’Otto Nicolai rappelle l’affection du chef pour l’opéra, lui qui est à la tête du célèbre Teatro San Carlo de Naples. D’emblée, on remarque sa présence gestuelle, véritable langage chorégraphique tout en délicatesse et d’une grande efficacité.…

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La Cinquième Symphonie de Tchaikovsky aura 130 ans au mois de novembre. C’est peut-être, en partie, ce qui en fait la coqueluche des programmes symphoniques cette saison. Après une version par l’Orchestre de la Francophonie cet été dans le cadre des Concerts Populaires, elle sera jouée par l’Orchestre Métropolitain en janvier prochain, puis par l’Orchestre Symphonique de Québec en avril. Pour l’heure, c’est un chef allemand chargé d’ans et d’expérience, Christophe Eschenbach, qui l’a faite résonner dans la Maison Symphonique en prenant les rênes de l’OSM. Eschenbach a livré une symphonie emplie de gravité, prenant son temps dans les développements…

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Trois compositeurs se partagent cette première coproduction entre la maison Analekta et les Prix Azrieli de musique. Brian Current et Wlad Marhulets, gagnants respectifs de la commande et du prix Azrieli 2016, côtoient l’Américain Lukas Foss. L’Orchestre symphonique national tchèque est dirigé par Steven Mercurio, le chœur par Miriam Nemcová et les œuvres mettent en vedette la soprano Sharon Azrieli, le clarinettiste David Krakauer et le ténor Richard Troxell. Dans les Sept Salles célestes, Brian Current transpose en musique sa lecture du Zohar, ouvrage de référence de la Kabbale. Tensions dans l’orchestration, tumulte des voix, envolées mystiques et densité d’écriture…

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Rachmaninoff, Concertos pour piano no 2 et 4 – Deutsche Grammophon Daniil Trifonov – Philadelphia Orchestra, Yannick Nézet-Séguin Au milieu de l’excitation suscitée par la redécouverte d’un enregistrement des Danses symphoniques par Rachmaninoff, voici une nouvelle lecture de deux concertos avec l’orchestre préféré de Rachmaninoff, interprétés par le pianiste vivant qui lui ressemble le plus. Deutsche Grammophon a intitulé l’album Destination Rachmaninoff. Départ, où figure en couverture un portrait du soliste Daniil Trifonov, assis dans le genre de compartiment de chemin de fer contemporain des disques de gomme-laque. Ne vous laissez pas distraire par ces coups de marketing. Trifonov ouvre avec…

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Pour parution immédiate, 12 septembre, 2018… La Fondation Azrieli vous propose une soirée exceptionnelle de découverte musicale au cours de laquelle seront présentées en première mondiale les œuvres des deux lauréats des prix de musique Azrieli 2018. Le compositeur d’origine israélienne Avner Dorman vous fera découvrir à travers son œuvre Niginim pour violon et orchestre une couleur orchestrale créative et une virtuosité inspirante,tandis que la compositrice canadienneKelly-Marie Murphy explorera les richesses de la musique sépharade avec son double concerto unique pour harpe et violoncelle En el escuro es todo uno (In the Darkness All is One). Ce programme riche et…

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La seule chose qui m’empêche de décerner cinq étoiles à cet album, c’est qu’il est à l’envers. Il débute par une performance tout à fait décente du Concerto pour violon no 1 de Béla Bartók par la virtuose norvégienne Vilde Frang, avec l’Orchestre philharmonique de Radio France dirigé par Mikko Franck. Frang, qui a 32 ans, se produit depuis l’âge de dix ans. Tout ce qu’elle fait est parfaitement charmant et agréable. Le premier concerto de Bartok, œuvre de jeunesse, effusion d’amour innocent, ne va pas changer nos vies. L’Octuor, lui, pourrait. Georges Enesco était l’un des plus grands violonistes de…

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Deux symphonies problématiques d’un compositeur torturé sont expédiées par le Boston Symphony et son chef d’orchestre letton avec une quasi-nonchalance. La 4e Symphonie, conservée par le compositeur pendant un quart de siècle à cause de l’attaque de Staline contre Lady Macbeth de Mtsensk, est ultra-mahlérienne dans son orchestration et son ironie et refuse totalement de suivre le positivisme à outrance préconisé par le parti. Le secret des intentions du compositeur échappe à de nombreux chefs d’orchestre. Andris Nelsons adopte une sorte de neutralité balte en minimisant les émotions extrêmes de la partition dans l’espoir de ne pas être attaqué par…

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Joliette, le 7 août 2018 – C’est dans une chaleur tout estivale que s’est conclue dimanche la 41e édition du Festival de Lanaudière. La performance offerte par l’Orchestre Métropolitain – sous la férule de Yannick Nézet-Séguin et Marc-André Hamelin – a eu cependant l’effet d’un rafraîchissement hautement apprécié par les festivaliers. Avec le Concerto pour piano no. 2 et la symphonie no. 7 « Leningrad » de Chostakovitch, Yannick Nézet-Séguin a dirigé son orchestre de main de maître, avec sa flamboyance habituelle; une prestation caractérisée par une finale grandiose. Cette année, le directeur artistique de l’événement, Gregory Charles, a proposé…

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